Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 07:00
Si votre calopsitte vous connaît bien, et même très bien, elle pourrait être tenté de vous rejoindre à tire d'aile. Disons que ce n'est pas vraiment quelque chose qu'on peut lui apprendre, mais favoriser, avec du temps et de la patiente. Pour l'instant, seuls Cachou et Kirouette le fond, et que quand ils en ont envie.
 
Pré requis :
Il faut que votre oiseau maîtrise parfaitement le vol et surtout l'atterrissage. Qu'il sache que votre épaule est toujours prête à l'accueillir aide beaucoup, et donc, qu'il sache la rejoindre à pied.
 
Le tour en lui-même :
Installez-vous dans un endroit dégagé, et restez-y souvent et longtemps, de préférence dans la pièce où vit l'oiseau. Pour ma part, je me trouve souvent installé sur une petite table où je travaille ou bricole.
Quand l'oiseau s'envole et vraisemblablement vers vous, rendez-lui service en restant immobile. Il se peut qu'au début, il vise ce qui est le plus facile à atteindre : le sommet du crâne, le dossier de chaise ou une table. Mais si votre épaule est attractive, elle deviendra la destination de prédilection.
S'il souhaite repartir, ne le gênez pas et au contraire offrez-lui une piste de décollage en tendant le bras vers sa cage ou son perchoir. Si l'expérience lui a plus, il ne tardera pas à vouloir revenir.
 
Petite astuce :
Je me suis fabriqué un collier avec des petits morceaux de scoubidous en guise de perles. Mes oiseaux adorent jouer avec et il ne craint pas grand-chose. Je m'en sers généralement pour habituer les jeunes à rester sur mon épaule, mais il peut aussi servir de récompense. L'oiseau peut jouer avec s'il parvient à l'épaule. Tous le connaissent, et ça peut aider, sans pour autant remplacer la confiance qu'il doit avoir en vous.
Ce pendant, pour que le collier "récompense" reste attractif, il ne faut pas qu'il soit laissé à disposition comme un jouet. Il risquerait de perdre sa valeur et beaucoup de perles.
Partager cet article
Repost0
21 mars 2010 7 21 /03 /mars /2010 07:00

Ce que mes oiseaux aiment bien, c'est de profiter à la fois du confort de l'intérieur de la cage, tout en savourant les friandises placées dehors. Ça peut paraître étrange, mais c'est assez malin !

Yakaris, sur la balançoire, n'a qu'à lever le bec pour savourer un bout de salade, évitant ainsi la foule qu'il y a là-haut. Resté au calme à l'intérieur, Piou Piou s'amuse à taquiner son copain Pirlouis en lui attrapant les pattes par-dessous.

Mais ce que je préfère c'est les siestes à deux l'un dedans sur une branche, l'autre dehors sur le bout qui dépasse. Et parfois, Pirlouis essaye de nettoyer les plumes de sa copine en passant le bec entre les barreaux. C'est sur, ça met du piment dans la vie de couple !

 

Partager cet article
Repost0
7 mars 2010 7 07 /03 /mars /2010 07:00

La callopsitte a besoin de s'occuper, et pour ça, des jouets sont l'idéal, même s'ils ne remplacent pas la présence d'un compagnon humain. Elle n'est pas très difficile, un rien l'intrigue, vous pouvez donc fabriquer vous-même ses jouets.

 

Perles en bois, anneaux de porte-clefs, grelots et clochettes, branchettes, épingles à linge en bois, ficelle et raphia,... Beaucoup de matériaux peuvent être utilisé si on respecte certaines précautions :

- Aucun objet tranchant ou pointu,

- Pas de plastique ou autre matière fragile qui pourrait être déchiqueté puis avalé,

- Des branchettes provenant d'arbres non traité, coupé dans un arbre fruitier ou un noisetier,

- Pas de ficelle qui pendouille, l'oiseau pourrait s'y prendre les pattes. Lestez-les avec des poids (perles, ...) pour qu'il soit tendu, il pourra se dégagé plus facilement.

- Pas de colle, vernis, peinture qui pourront être avalé et intoxiquer votre oiseau.

 

Quand vous assemblerez les jouets près de lui, il se peut qu'il vienne voir ce que vous faites. Laissez-le jouer avec ce que vous travaillez, en prenant soin de laisser les ciseaux hors de porté. Vous pourrez alors voir sur quels matériaux se porte sa préférence, et au contraire, ceux qui n l'intéresse pas, pour adapter vos jouets.


Partager cet article
Repost0
21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 07:00
Les calopsittes comme beaucoup d'oiseaux, apprécie de se baigner, et il y a plusieurs moyens à votre compagnon à plume pour faire sa toilette.  De préférence, évitez de le baigner par temps frais, pour qu'il ne prenne pas froid. Chaque oiseau est plus enclin à l'une ou l'autre de les méthode, à vous de voir se qu'il préfère.
- la baignoire : on put en trouver dans les animaleries. Un conseil, accrochez-la bien, car une calopsitte en colère va passer ses nerfs sur ce qu'il trouve et décrocher les accessoires. Même si avec une mangeoire ce n'est pas très grave, imaginez le résultat avec une baignoire et toute l'eau qu'elle contient…
- le pulvérisateur : ceux pour plante sont tout à fait adéquat, il faut juste s'assurer qu'il n'a contenue que de l'eau (pas d'engrais, d'insecticide, …). Evitez l'eau gelé ou bouillante, et pulvérisez doucement vers l'oiseau, sans être trop près, tout en observant son comportement. S'il recule craintif, cessez, car il n'apprécie pas. Mais si au contraire il s'approche de vous en exposant toute les partie de son corps au jet, c'est qu'il aime bien ça.
- la "rosée" : pulvérisez de l'eau sur le dessus de la cage, pour que des gouttes d'eau se forme sur les barreau. L'oiseau va venir se rouler dessus pour se nettoyer, comme il le fait dans la nature avec la rosée du matin. Les recommandations sur le pulvérisateur sont les mêmes que pour la méthode précédente.
 
Anecdote :
J'étais assez inquiète, car l'abreuvoir donnait tous les signes d'une fuite (eau au fond de la cage, et niveau descendant plus vite que coutume), avec un détail assez étrange : la fuite n'était pas régulière. Le niveau de l'abreuvoir pouvait baissé de moitié en un après-midi, et avoir une baisse régulière normal les deux jours suivants.
Je compris mieux quand je pris Kirouette sur le fait. Faisant le grand écart pour avoir une patte accroché à l'abreuvoir et l'autre sur la branche en bois, il s'aspergeait avec l'eau de l'abreuvoir en mettant plein partout. Le pauvre, se ne devait pas être très évident, car justement les abreuvoirs sont conçu pour empêcher les oiseau de s'y baigner et donc ne pas souiller l'eau de boisson par des plumes.
Je leur ais donc installé une baignoire pour lui faciliter la vie, en l'accrochant solidement puisqu'ils s'amusent à décrocher leurs mangeoires. Ils passèrent un long moment à la regarder, intrigué, l'éprouvèrent du bec, mais sans plus. Petite étincelle d'espoir quand Pirlouis descend des barreaux en direction de la baignoire, y trempe une patte et… remonte aussitôt, surpris. Trop froide ? Le pire, c'est que Kirouette préfère encore l'abreuvoir à la baignoire…
Etant élevé à la main et retiré très tôt à leur parents, ils n'ont pas du apprendre à se baigner. Il faudrait qu'ils voient d'autres oiseaux se baigner (par exemple nos mandarins qui adorent ça), pour apprendre comment on fait, un peu comment ils apprennent tout jeune, que c'est mieux de décortiquer les graines avant de les manger.

Partager cet article
Repost0
14 février 2010 7 14 /02 /février /2010 07:00

La St Valentin coïncide parait-il avec le début des saisons des amours chez nos amis à plumes. Si ce jour si particulier est le moment de démontrer son affection, il n'est la seule occasion, des petits mots doux pouvant être échangés au quotidien.

Voilà déjà quelques années que Piou Piou et Pirlouis se sont dit oui pour la vie, et ils sont toujours aussi heureux l'un avec l'autre. Partageant une graine croquante, un nid douillet ou une soirée TV captivante, ils sont tout aussi mimi.

Bonne fête à eux et à tous les amoureux!

 

Ci-dessous, Pirlouis en grande composition floral pour sa belle.

St Val 2010

Partager cet article
Repost0
7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 07:02

Votre nouveau petit protéger à plumes est chez vous depuis quelques jours, et commence à être bien à l'aise dans sa cage, vous pouvez lui proposer un peu plus: une semi-liberté, c'est à dire des sorties dans une pièce sécurisé (pour lui) et sous votre surveillance.

 

Le jour J, ouvrez-lui la porte de sa cage, et éloignez-vous, voguez à vos affaires dans la pièce tout en gardant un œil sur votre petite boule de plumes. Il est fort possible qu'il se contente juste de regarder la porte ouverte, ou de ne pas aller plus loin que celle-ci, ce n'est pas grave et tout à fait normal. Choupette est resté plusieurs jours à observer l'endroit avant de tenter une sortie timide.

Laissez-lui le temps qu'il a besoin, proposez-lui une sortie chaque jour, jusqu'à ce qu'il se décide. Il a alors deux choix pour sa sortie, l'envol ou l'observation du haut de sa cage.

- L'envol:

Laissez-le faire et ne lui courrez surtout pas après. Si c'est un jeune au vol malhabile il réalisera un atterrissage de fortune sur le sol, s'il est plus expérimenté sur un perchoir improvisé. Votre comportement par la suite dépendra de votre choix sur sa semi-liberté: le laisser retourner seul à sa cage, ou le ramener systématiquement. Personnellement, vu que mes oiseaux sont en cohabitation avec d'autres animaux et des surtout des plantes, je préfère la première. Prévoyez alors un grand bâton, que vous lui proposer comme un perchoir juste devant lui. Votre calopsitte le trouvera certainement moins instable que leur perchoir de fortune ou préférable à un sol où il aime guère se trouver. Le ramener ne signifie pas la fin de la sortie, déposez-le sur le dessus de la cage qui fait un très bon observatoire et aire de jeu.

- L'observation:

Votre oiseau est peut-être plus grimpeur qu'aviateur et préféra avoir un plus haut poste d'observation avant de s'élancer dans l'espace aérien. Vous le verrez alors accéder au dessus de sa cage où il continuera d'observer avec une grande attention ce qui se passe autour de lui.

C'est sur le dessus de leur cage que mes oiseaux passent la majeur partie de leurs sorties (quand ils ne font pas des huit juste sous le plafond, adopte mon épaule comme perchoir,...), vous pouvez y installer des jouets: bouts de bois (prélevés sur un arbre fruitier non-traité), clochette et grelot, ...

Quand la sortie est terminé, il va falloir le convaincre de rentrer chez lui. Sur votre doigt s'il vous est familier, ou avec une petite gourmandise (un simple petit morceau de pain suffit) dans sa cage au début.

 

Après chaque sortie, fermez soigneusement sa porte, si vous la trouvez trop lâche, n'hésitez pas à rajouter un anneau de porte clef ou équivalent, voir un petit cadenas. La calopsitte est un oiseau très intelligent, surtout pour obtenir ce qu'il veut. Elle pourrait très bien avoir envie de sortir de nouveau, en votre absence, et de ne pas être autant en sécurité.

 

Ci-dessous, les excursions timides de Choupette lors de ses premières sorties.

deuxi-me-balade.jpg

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2010 7 31 /01 /janvier /2010 07:00

Si vous souhaitez intégrer un nouvel oiseau parmi vos protégés, c’est faisable, il faut surtout leur laisser du temps pour se connaître. Assurez-vous aussi que la cage est assez grande pour accueillir le nouvel arrivant confortablement.

En premier lieu, ne l’imposez pas directement. Il faut qu’ils fassent connaissances sur un territoire neutre. Ainsi l’autre oiseau ne sera pas considéré comme un intrus violant leur chez soi. Pour ma part, mes oiseaux font connaissance sur une petite table, quand les jeunes oiseaux jouaient hors de leur cage après la patté. Les adultes venaient récupérer un peu de patté et profiter de leur jouets. Il n’y a aucune raison que ça se passe mal.

Quand ils joueront ensemble, vous pourrez mettre le nouvel arrivant sur le dessus de sa future cage, pour des périodes de plus en plus longue. Il va y entrer et l’explorer, s’il est accepté par les autres oiseaux, ceux-ci ne protesteront pas.

Pour sa première nuit dans sa future cage et les suivantes, ne leur coupez pas la lumière brutalement. Baissez-la de façon à ce que vos oiseaux sachent que c’est bientôt la nuit, et qu’ils y voient suffisamment pour qu’ils trouvent leur place préférée pour dormir. Cela fait, vous pourrez éteindre complètement.

Il est possible que certains oiseaux refusent de vivre en collectivité, respectez leur choix. Ça a été le cas de cachou, vivant dans une cage séparé, mais recevant des visites ou visitant l’autre cage dans la journée.

 
Anecdote :

Cachou, ayant longtemps vécue seule, refusait d’approcher mes autres oiseaux, et donc vivait ans une autre cage. Kirouette venait la courtiser, et, ave beaucoup de patience, réussi à venir sur le même perchoir qu’elle sans trop recevoir de coups de bec. Il pouvaient ainsi venir la voir dans la journée, mais était mit dehors pour la nuit, ce qui ne l’a jamais empêché de revenir au matin.

Ci-dessous, Piou Piou jouant sur la petites table pendant que les bébes digèrent.
crayon.jpg

Partager cet article
Repost0
24 janvier 2010 7 24 /01 /janvier /2010 07:00

Quand la luminosité baisse, il faut penser à envoyer vos oiseaux se coucher.

S’ils étaient de sortis, faites les rentrer dans leur cage pour la nuit : présentez-leur un doigts et amenez-les devant la porte. Ils y rentreront sans problème, même si certains (comme Kirouette) cherchent à ressortir aussitôt, c’est tellement mieux dehors ! Mais ils devront s’y faire et à la longue ne protesterons plus. Si vous les trouvez en train de faire la sieste hors de la cage, réveillez-les en soufflant doucement sur les plumes, cela vous évitera des coups de bec surpris (juste simulé s’ils vous connaissent bien).

Tous les oiseaux dans leur cage respective, refermez la porte et laissez-les s’installer pour la nuit. Vous remarquerez qu’ils ont leurs emplacements préférés où ils aiment bien dormir (la balançoire pour Piou Piou par exemple), donc si vous avez à éteindre la lumière, attendez qu’ils l’aient tous rejoint. En effet, ils voient mal dans le noir, et pourraient s’affoler ou prendre la place d‘un autre par mégarde (et donc déclencher une bagarre).

 
Quelques précautions pour la nuit :

- pas de bruit ni de lumière, ce qui est assez évident. Tout comme vous, ils souhaitent passez une nuit tranquille.

- ne couvrez pas la cage, ils n’en n’ont pas besoin et vous risquez de les effrayer.

- ne les oublier pas hors de la cage pendant la nuit. Tant qu’ils dorment, ils ne feront pas de bêtises, mais personne ne viendra les surveiller au petit matin.

 

Ci-dessous, Cachou faisant la sieste, mais gardant un œil ouvert pour surveiller l’appareil photo.

 dodo.JPG
Partager cet article
Repost0
17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 07:00
La callopsite s’exprime, et sait se faire comprendre. Avec un peu d’habitude, Vous pourrez reconnaître son humeur du premier coup d’œil.
 
C'est un oiseau qui ne crie pas, ou ne le fait que quand elle a un problème.
Cri d’appel : c’est un cri strident, du genre Hui ! Hui ! Hui ! (Pas facile à reproduire sur un clavier…).
Elle l’utilise quand elle s’est posée en catastrophe à un endroit peu accessible et demande que l’on vienne la chercher.
Si vous avez plusieurs calopsittes, elles appellent aussi quand l’une d’entre elles s’est envolée. Ce cri leur permet aussi de se coordonner, car ils s'appellent avant de prendre leur envole en groupe.
Mais j’ai aussi Cachou qui l’utilise pour signaler que le téléphone sonne.
Cri de douleur : il est aussi strident, mais un peu plus grave que le cri d’appel. Si vous l’entendrez, vous le reconnaîtrez tout de suite.
 
En plus de ces cris d’urgence, elle bavarde un peu. Avec un peu d’expérience, on peut reconnaître différents bruits et les associer à des circonstances particulières. Mais ils sont moins universels, et il arrive que chaque oiseau à les siens s’ils n’ont pas été élevés ensemble.
Par exemple, Cachou peut faire un bruit interrogatif devant un objet qu’elle ne connaît pas, alors que les autres utilisent le même bruit dans des circonstances neutres et plus généralement quand ils somnolent.
Un autre exemple, Kirouette me demande l’autorisation avant de s’envoler vers une des cages, et c’est le seul à le faire.
Un dernier cas, le bruit de bébé, que Yakaris a gardé malgré son 1 an. C’est un bruit assez proche du cri d’appel, moins puissant et moins strident. Il l’utilise surtout quand il n’est pas très assuré.
 
 
En plus des bruits, la calopsitte prend des postures bien particulières en fonction de ses humeurs, et la hupette intensifie les différences entre les postures.(Passez la sourie sur la description pour voir la photo correspondante)
Hupette dressée et tête légèrement inclinée : attentive, intriguée. Elle a vu quelque chose qui l’interpelle, et ne s’est pas encore si elle doit en rester curieuse, indifférente, ou en avoir peur.
Hupette couché, bec ouvert pour mordre ou en train de cracher : elle a peur et se sent agressée. Faites attention, elle peut pincer très fort voir jusqu’au sang si elle ne vous connaît pas ou si elle a mal. (je le sais d'expérience...)
Plumes ébouriffés, juché sur une patte, le bec sous une aile : elle dort ou somnole, ne la dérangez pas. (Ici, Cachou a gardé un oeil ouvert pour surveiller l'appareil l'apareil photo.)
La queue levé et la tête couché, l’oiseau est à l’horizontale, et fait des petits bruits bizarres : parade amoureuse, elle quémande des faveurs à un de ses congénères. ( par respect pour le jeune public, cette photo a été censuré :0075:)
 
Sur cette photo, Cachou s'est posé sur une plante en hauteur. Elle a appelé et attend qu'on vienne la chercher.
feuille.jpg
Partager cet article
Repost0
10 janvier 2010 7 10 /01 /janvier /2010 07:03

Je vous avais déjà présenté mes calopsittes en plein vol, photos difficile à prendre par leur vitesse de vol, mais aussi par le déplacement, il faut l'avouer. Je vous présente aujourd'hui quelque chose de pas plus évident à obtenir, voir même plus difficile. Pour cela, il faut remercier la personne qui a prit les photos, et qui garde mes p'tites boules de plumes, Lydie.

Mais je ne vous ferais pas attendre plus longtemps, voici Pirlouis, en plein décollage. Vous pouvez admirer l'aisance et la maitrise, qu'il a mit des années à peaufiner. Mais laissons place à la star!

DSC03493DSC03492DSC03494

Partager cet article
Repost0