Pour les études, on peut être loin de ses petits protégés à plumes, mais toujours penser à eux. On les sait en bonne garde et choyé, et, quand au détour d'un couloir de métro, nos yeux sont attirés par une affiche particulière, on sourit pour soit-même.

Les calopsittes ont un faible pour le bois, elles ne peuvent s’empêcher de le grignoter. Et comme les miennes ont essentiellement des barreaux en bois, ça peut poser quelques problèmes… Pour eux, manger la branche sur laquelle ils sont perchés ne les dérange pas.

Pour éviter qu’ils ne se fassent mal et qu’ils se retrouvent sans perchoir, il faut qu’ils grignotent autre chose. J’ai donc récupéré de petits bouts de branche fixés sur un crochet, que j’ai suspendu un peu partout dans et sur la cage. Au début intrigué, ils n’ont pas tardé à aller les voir de plus près.

Pour l’instant, leur jeu favori reste de les faire tomber, mais j’ai vu Yakaris s’en servir comme tutute pendant sa sieste, et certains sont été un peu plus courts à la fin de la journée.

|| Suivant >>

J'espère que vous avez bien travaillé votre recherche de calopsittes envolées la semaine dernière, car je vous propose une nouvelle photo à la difficulté plus élevé. Vous m'excuserez de la piètre qualité, mais c'est parce que le sujet était en déplacement! Cherchez bien, Choupette est quelque part.

Si vous donnez votre langue au chat, passez la souris sur la photo pour connaître la réponse, puis passons aux interrogations qui vous aient peut-être venus.

Si vous avez été attentifs, vous avez pu vous rendre compte que la fenêtre est ouverte, chose absolument proscrite si vos petits compagnons à plumes sont de sortie. Et oui, comme Choupette vous en fait la démonstration, une calopsitte, ça vole particulièrement vite (c'est l'oiseau le plus rapide d'Australie, ses terres natales), et si elle se sauve, vous n'êtes pas sur de la revoir...

Mais, si vous avez été très attentif, vous avez pu remarqué une baguette de bois sous le rideau pas totalement relevé. Celle-ci est le bord supérieur d'un cadre maintenant en place une moustiquaire à double effets, puisqu'elle empêche les p'tits vampires d'entrer et vos protégés de sortir.

Ainsi, vous pourrez laisser vos p'tites boules de plumes se dégourdirent les ailes sous votre surveillance, tout en pouvant aérer la pièce, surtout avec la chaleur qu'il fait en ce moment.

Dans la nature, la calopsitte à trois moyens de se laver: la pluie, les flaques d'eau et la rosée déposé dans sur les herbes. Ces trois moyens peuvent être reproduit pour votre petits protégés, et vous pourrez remarquer qu'ils peuvent avoir une préférence pour l'un d'eux.

Pour la pluie, prenez un vaporisateur pour plante qui n'a jamais contenu d'engrais ou d'insecticide (le mieux est dans avoir un spécialement pour eux), et vaporiser au dessus d'eux. S'ils apprécient, ils ébourifferont les plumes et exposeront tout leur corps tour à tour.

Pour les flaques, une baignoire spéciale pour oiseau ira très bien, même si certains se débrouille pas trop mal avec leur abreuvoir (ce qui est guère idéal...).

Pour la rosée, une grande assiette contenant un feuillage frais leur étant comestible (arbres fruitiers non traités), sur lequel vous vaporiserez de petites gouttelettes.

Mais il y a un autre moyen qui n'est pas à la disposition des calopsittes sauvages, même si je ne suis pas certains qu'il lave autant: un souffle d'air chaud. Mes oiseaux adorent l'aspirateur, essayent de se placer juste au dessus du souffle d'air qu'il émet, et s'ébouriffent les plumes comme pour un nettoyage plus traditionnel.

On pourrait utiliser un sèche-cheveux, mais se serait alors avec mille précautions.

Ci-dessous, Piou Piou les plumes ébouriffées pour la toilette.