Cette année, c'est Pirlouis qui c'est occupé de la décoration!
Cette année, c'est Pirlouis qui c'est occupé de la décoration!
Ce sont des oiseaux très curieux, qui adorent regarder par la fenêtre. On peut voir leur interressement à leur hupette dréssée. Un oiseau qui vole, une voiture qui passe, tout les émerveilles!
Mais le seul soucis à éviter, c'est les fenêtres ouvertes. En effet, la calopsitte est l'oiseau le plus rapide d'Australie, sa terre natal. Si elle s'envole dehors, vous aurrez les plus grandes difficultés à la rattraper et à la retrouver!
Donc, pour ouvrir les fenêtres en toute sécurité et aérer l'été, on peut installer des moustiquaires qui poura aussi lui rendre plus visible les fenêtres.
Ce n'est pas rare qu'on retrouve une calopsite dans un jardin, comme "tombé du ciel". Et savoir d'où elle est partit est plutôt ardu. Mais le plus dangereux pour une calopsitte en pleine nature est de tomber sur un prédateur (chat, chien, rapace, furet, ....) de se faire mal, de s'intoxiquer en mangeant des choses non comestibles, de prendre froid, ...
Prenez donc grand soin de vos petites boules de plumes, le dehors n'est pas bon pour eux.
Il arrive que des parents calopsittes ne peuvent ou ne veulent plus s'occuper de leur petit, et il nous faut prendre le relais avec la même pattée d'élevage qu'on fournissait aux parents.
Il y a deux techniques, qui dépendra de l'âge des bébés comme votre habileté.
A la seringue:
Vous pouvez demander des seringues à votre pharmacien, dont vous retirez les aiguilles. Préparez la pattée assez liquide pour que ça ne coince pas dans l'embout, et remplissez votre seringue. Il faut maintenir d'une main l'oiseau et lui administrer la patté avec la seringue de l'autre, et c'est une chose qui demande certaine habitude.
Il faut d'une part ne pas trop serrer l'oiseau pour lui faire mal, ni non plus qu'il bouge trop et qu'il ne puisse manger. De même, la seringue permet de mettre un peu de pattée directement dans le bec, il faut y aller à petite dose, et ne pas ''bourrer'' car on risquerait de l'étouffer. Si l'oiseau refuse, ne pas insister et proposer à nouveau un peu plus tard. Bref, on fait la bèquetée comme l'auraient fait leurs parents.
Je ne le cacherais pas, c'est pas facile, et personnellement je n'y arrive pas. S'il y a à le faire, c'est ma mère qui s'en occupe. Et je prends le relais avec la cuillère.
A la cuillère:
Cette technique demande une certaine autonomie de l'oiseau, ou plutôt qu'il ait compris que le truc jaune ça se mange et que c'est bon. Préparez la aussi la pattée de façon à ce qu'elle ne soit pas trop sèche, prenez en un peu avec une cuillère à café et présentez là à l'oiseau.
S'il ne réagit pas, passez la cuillère sous son bec pour lui en mettre un peu dessus. Par réflexe, il va se nettoyer le bec et donc en avaler un peu. Si vraiment il ne mange pas, passer de nouveau à la seringue.
La compétence primordiale pour cette technique n'est pas l'habileté, mais la patience, il faut tenir la cuillère devant eux, la remplir quand elle est vide et recommencer, jusqu'à ce que tout votre petit monde a terminé.
Parallèlement, il faut proposer de l'eau et des graines à vos petits, pour qu'ils commencent à apprendre à manger tout seuls. Vous pourrez voir leurs progrès en surveillant leurs excréments. Au début, il seront plutôt liquide (donc les changer environ à chaque repas) car leur pattée l'est aussi. Et puis il va y apparaître des graines de millets entières, car ils ne les auront pas décortiqués. Ils l'apprendront en observant les adultes faire, et dès qu'ils auront comprit, vous ne retrouverez plus de graines du tout.
Quand vous verrez qu'ils savent maintenant manger tout seul, réduisez la régularité des services de pattée, jusqu'à ne plus en donner du tout.
La callopsitte est vraiment curieuse, un rien l'intéresse : un bruit incongru, un objet étrange, et ils sont plus attentif. C'est pour ça qu'ils se plaisent de vivre en compagnie de leur maître, car chacune de ses activités est source d'un truc intéressant à regarder et écouter.
Il faut cependant prendre garde à ce que nos activités ne soient pas dangereuses, ou les tenir éloigné le temps que. C'est un vrai régal de vivre avec eux jour après jour, partager des petits plaisirs, découvrir quel nouveau bruit ils se sont mit à reproduire, leur proposer de nouveaux jeux...
La petite routine quotidienne s'installe tant et si bien, qu'on m'a raconté que Pirlouis reprenait mes sifflements, fesant croire à ma mère que je me trouvais dans la pièce.
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Dans la nature, les callopsittes nichent dans des infractuosités, choses qu'elles auraient du mal à trouver dans leur cage. Si vous souhaitez les voir élever des petits, il faudra donc leur fournir un nid.
Vous pouvez en trouver dans le commerce, mais parfois, il faut le faire soi-même pour être certain d'avoir ce qu'on veut. Les plus pratiques sont en bois, assez hauts pour que les oisillons ne sortent pas prématurément, et un clapet sur le haut pour vérifier discrètement que tout se passe bien.
Après quelques recherches, voici les dimensions d'un nid : 32 à 40 cm de haut, 25 à 30 pour les cotés et un trou de 6 à 8 cm de diamètres au centre en haut. Pour l'accès par l'extérieur, un perchoir est fixé sous le trou, et par l'intérieur, un treillage ou une échelle de bois. Assurez-vous d'avoir du bois non traité, car il arrive que les parents apportent leurs finissions en grignotant à droite et à gauche. La litière peut être composé de copeau de bois pour hamster.
Sachez que les callopsittes ne sont pas trop difficiles en matière de nid, n'ayant pas l'embarras du choix dans la nature. J'en ai même vu nicher sous un pot de fleur renversé.
Prendre des photos avec nos petits chouchous, ce n'est pas toujours facile. Il n'est pas toujours facile d'avoir une pose naturelle quand ils sont plus intéressés par l'appareil photo que par le sujet de la photo, c'est quelque chose d'autre qui les distraits.
Petit tour d'horizon des photos cocasses prisent avec les stars du blog!