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20 juin 2010 7 20 /06 /juin /2010 07:00

Il y a une question qu'on m'a souvent posé, c'est comment habituer notre calopsitte à nos doigts, qu'elle vous ai été vendu apprivoisé ou non. Je vous dirais d'abord qu'on peut tout autant devenir complice avec une calopsitte non apprivoisé, qu'il vous faut juste du temps et de la patience.

 

Comprenons nos petites boules de plumes, selon leur vision des choses, nous sommes immenses, grand, impressionnant et potentiellement dangereux, car elles craignent tout ce qui est plus grand qu'eux. Il nous est donc important de leur montrer qu'on est peut-être grand, mais qu'on est pas méchant.

 

Commençons d'abord ce qu'il ne faudra surtout pas faire, ce qui risque de réduire à néant tous vos efforts et la confiance de la calopsitte pour vous:

- l'attraper par le dessus et plus généralement, l'attraper tout court. La calopsitte se croira proie dans les serres d'un prédateur et... vous comprendrez bien que ce n'est pas vraiment une situation appréciable. Pour la petite histoire, mon père l'a fait une fois avec Kirouette, pensant bien faire car il s'était envolé, mais l'oiseau l'a pincé pour se défendre, et depuis a refusé de le laisser l'approcher.

- le forcer à venir sur votre doigt ou votre main. S'il ne veut pas, c'est qu'il ne veut pas, ou il n'en a pas envie, ou il ne vous connait pas assez, mais l'important est de ne pas insisté. Venir sur votre doigts doit rester un plaisir pour lui comme pour vous, et non une contrainte.

 

Continuons sur tous les stratagèmes auxquels on peut se livrer pour que votre compagnon à plume s'approche de votre doigts, puis s'en serve comme perchoir.

Avec les toutes jeunes calopsittes, qui ne mangent pas encore toutes seules, je n'ai jamais eu de difficulté, on leur caresse doucement le ventre avec le dos de l'indexe et elles y montent presque par réflexe.

Avec les plus âgés, n'ayant jamais connu l'homme mis-à-part de loin, il faut ruser et exploiter leurs points faibles: la curiosité et la gourmandise.

 

Il y a lors des soins quotidiens que vous apporter à sa cage (renouvellement des graines, changement de l'eau, ...), où la curiosité titillé, votre calopsitte suivra avec attention tout ce que vous faites. C'est généralement pendant ses moments que mes cocos en profitent pour jouer avec mes cheveux qui les ont toujours beaucoup intéressé, mais ça, ça viendra par la suite. ;)

 

Votre premier objectif sera que votre boule de plume s'approche de votre main, jusqu'à toucher du bout du bec vos doigts.

Pour cela, titillez sa gourmandise avec un petit morceau de pain, tenu entre les deux doigts, après vous êtes assuré qu'elle sait ce que sait et que c'est super bon. Vous la verrez tenter de s'approcher, reculer précipitamment, retenter de s'approcher, et si vous restez parfaitement immobile, elle viendra prendre du bout du bec un peu de pain là où elle peut être le plus loin possible de vos doigts.

Cette étape franchi, le reste viendra tout seul. Elle craindra de moins en moins de s'approcher pour manger le pain, et tâtonnera même du bec vos doigts pour savoir ce que c'est. C'est alors qu'elle n'hésitera guère plus à récupérer les petites miettes tombées un peu plus bas sur votre main, puis se juchera sur votre doigt pour déguster le pain plus à son aise.

Laissez-lui juste le temps qu'elle a besoin, certains sont plus aventureux (ou gourmand) que d'autres.

Vous pourrez ensuite remplacer le pain par un jouet qu'elle n'a pas accès autrement, pour qu'elle monte avec plus d'assurance sur votre main pour le triturer. Elle ne tardera alors pas trop à escalader votre bras pour becqueter vos lunettes, boucles d'oreilles, collier, ou même cheveux.

Encore pour la petite histoire, Piou Piou aime beaucoup mon épaule, pouvant y rester longtemps pour faire sa toilette ou simplement faire la sieste, et s'y réfugie si quelque chose l'effraye.

 

 

Ci-dessous, Pirlouis n'hésitant pas à monter en partie sur ma main pour avoir le plus gros morceau de pain avant qu'il ne soit distribué à tout mon petit monde. ^^

pain doigt

 

 

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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 07:00

Les roses, tout le monde s'accorde à dire que ce sont de belles fleurs, en bouquet ou en buisson, mais... saviez vous qu'en plus d'être belles, elles sont bonnes?

Si vous voulez vous en assurez, attrapez une rose de votre jardin (non-traité, non-pollué, et qui vient de votre jardin). Prenez une pétale (plus elle est coloré, plus elle a de goût), enlevez le petit bout qui était rattaché à la fleur (c'est amère), et mâchez doucement. Alors?:p

Fraiches, il paraît qu'elles sont pleines de vitamines, et sont aux gouts de beaucoup! On peut en faire de la confiture, s'en servir pour parfumer le beurre, ou simplement se laisser grignoter au cours d'une ballade dans le jardin.

 

Et saviez-vous que nous n'étions pas les seuls à les apprécier? Elles sont rentrés à la maison pour les chinchillas, les chiens ont profité des pétales tombées par terres, et mes calopsittes ont réclamé leur part.

Et bien oui, elles ont toujours un œil sur ce que leurs voisins rongeurs ont, même que Choupette va tout au bord du parasol pour avoir meilleur vue, et elles n'hésitent pas à signaler quand ça leur plait.

Ils ont une branche de noisetier? On veut notre brindille! Ils ont de la pomme, nous aussi! Du foin? Un brin à grignoter!

Alors, quand ils ont vu les roses, ils ont demandé à essayer et ont été conquis!

rose mordue

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6 juin 2010 7 06 /06 /juin /2010 07:00
Comme Piou Piou a pondu des œufs et que nous leur avons trouvez des parents adoptifs pour les couver, j’ai creusé un peu la question sur la ponte. Voici le fruit de mes recherches.
Condition essentiel : avoir un couple composé d’un mâle et d’une femelle. Si vous ignorez comment reconnaître l’un de l’autre, il y a quelques révisions ici. On voit qu’un couple s’est formé quand ils passent beaucoup de temps ensemble, dorment cote à cote, se font mutuellement la toilette, se nourrissent en même et surtout font certaines choses (Hum ! Hum ! :0075: ).
Et c’est par la suite que la femelle va se mettre à pondre. La présence d’un nid ne semble pas nécessaire (quoique fortement recommandé si vous souhaitez encourager votre couple à couvez ses œufs), puisque Piou Piou et Pirlouis s’en sont très bien passé. Quoique, s’ils étaient tout le temps en liberté dans le salon, ils s’en serraient sûrement bricolé un.
La femelle ferra environ 4 à 5 œufs, pondu chacun à deux jours d’intervalle. La couvaison dure entre 18 et 21 jours, et les oisillons sortirant du nid après un peu plus de deux semaines pour être sevré à deux mois.
 
Ci-dessous, la photo d’un œuf de poule (le plus gros), de mandarin (les deux petits) et de calopsitte (celui entre les deux), pour vous donner une idée de sa taille, car au premier œuf de Piou Piou nous avons été surpris. En effet, ma mère ayant l’habitude des œufs de mandarins l’a trouvé gros, alors que moi, ne connaissant que les œufs de poules l’a trouvé petit.
DSC00292.JPG
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30 mai 2010 7 30 /05 /mai /2010 07:00

Aujourd'hui, c'est la fête des mères, et même si Piou Piou n'est pas maman malgré ses efforts avec Pirlouis, elle a quand même quelque chose à dire. A la maman qui s'occupe d'eux en mon absence, qui donne pain, pomme et graines, se fait prier et sollicité pour avoir droit à une sortie, mais qui est oublié dès que je suis de retour. A leur maman qui est aussi la mienne, qui garde mes petites boules de plumes tant que je ne peux pas les ammener avec moi:

fete mere 2010

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 07:00
On y pense pas toujours, mais la glue sur les attrape-mouches est vraiment collante, suffisamment pour attraper des grosses "mouches" à plumes. Vous voyez ce que je veux dire ? Donc, à moins d'une invasion de mouches, évitez d'en disposez dans la pièce où vivent vos oiseaux, et surtout pas en hauteur, car c'est là qu'ils volent.
 
Anecdote :
Je passais le balai avec Piou Piou sur l'épaule dans le salon où vivent mes oiseaux. Mon petit tas formé, et je devais aller chercher la pelle et la balayette dans la cuisine, pièce interdite à mes oiseaux. Evaluant que Piou Piou était suffisamment calme pour ne pas quitter mon épaule et que je n'en aurais pas pour longtemps, j'y vais. Mais au moment où je me penche pour prendre la pelle, Piou Piou prend peur et s'envole sur un attrape-mouches! On la décolla doucement et avec précaution, avant de couper les plus possible de plumes souiller par la glue, évitant ainsi qu'elle en ingère en se nettoyant ou reste coller à ses congénères. Ce genre de glue est très tenace, et ne part pas à l'eau ni au savon, il était inutile donc de la shampouiner et de la traumatiser encore plus. Nous avons laissé le temps faire, et elle se porte aujourd'hui très bien et ses plumes ont repoussé !
 
Ci-dessous, Piou Piou avec sa coupe de plume assez sévère…
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9 mai 2010 7 09 /05 /mai /2010 07:00

Présenter un nouveau fruit ou légume à des callopsites est un vrai régal, aussi bien pour eux que pour nous.

Maintenant, mes petits chenapans ont compris que ce que je leur présente n'est pas mauvais, et ils guettent les occasions de se régaler. Ils ont appris à reconnaître de loin le pot de compote, le bruit du achet de biscuit, et celui de la boite à graine.

C'est par tâtonnement qu'on apprend un peu plus sur les goûts de chacun, mais aussi sur leur caractère. On repère les peu assurés (Yakaris), prenant un tout petit bout de la pointe du bec, les plus gourmands (Kirouette) qui attaquent à plein bec pour être sur d'avoir le plus gros morceau, et les prévenant (Pirlouis), qui poussent les autres pour laisser passer sa copine jusqu'à la friandise.

Si vous leur proposer un nouveau met, il n'est pas sur qu'ils savent le décortiquer tout de suite. Pour les petits fruits à peau (raisin), percez-y un trou pour qu'ils puisent y prendre la chaire et l'agrandir. Evitez aussi de mettre de trop gros morceaux qui seront gâché.

 

 

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2 mai 2010 7 02 /05 /mai /2010 07:00

Les calopsittes adorent grignoter des branches tout comme elles aiment le changement. Les miennes avaient trouvé astuce pour concilier les deux: elles grignotent les branches leur servant de perchoir jusqu'à ce qu'elles rompent et qu'on doivent les changer.

C'est alors que ce fut moi qui trouva astuce, pour qu'elles n'aient pas à user de subterfuge pour avoir renouvellement. Qu'on vous raconte toute l'affaire.

 

On a trouvé des branches malléables, qui se pli à tous les caprices et besoins de nouveautés de nos chères boules de plumes. Ce sont plein de petits bout qui se clipsent les uns dans les autres pour former une branche de la forme et longueur souhaité.

Ainsi, dans la cage il y a plusieurs types de branches: des naturelles à grignoter, car ça, ils ne peuvent s'en passer, et des artificiels changeable aux grès des humeurs.

grignotte branchette (2)

branchette maléable

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 07:00

Souvenez-vous, il n'y a pas si longtemps que ça, j'avais mis à mes oiseaux des branches fraîches de noisetier en guise de perchoirs, et ils avaient raffolé des bourgeons. Et bien, ils les ont tant aimé, qu'ils en ont réclamé d'autres !

La saison étant trop avancé pour pouvoir leur trouver les bourgeons qu'ils aimaient tant, ils ont eu des feuilles. L'installation des nouvelles branches se sont faite en leur absence, pour ne pas les effrayer, mais dès le retour, ils sont allés voir ce qu'il y avait de nouveau dans leur cage. Ça, les feuilles leur ont plus, le soir même, elles avaient toutes été décortiquées et retiré des branches.

Maintenant, c'est aux petites branches qui en sont à être décortiqué, rogné, débarrassé de leur écorce. Ils s'attaqueront aux plus grosses branches un peu plus tard pour en réclamer des nouvelles !

 

Vous pouvez voir si dessous : à droite la branche que j'ai retiré après quelques mois de grignotage, à gauche la nouvelle que je leur ai installé. Sacré différence, non?

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18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 07:00

Me voilà de retour chez moi, pour deux semaines de vacances, où je vais pouvoir retrouver et câliner mes trois petites boules de plumes. Celles-ci étaient dorlotées par mes parents, et j'eus droit à quelques anecdotes assurant l'affection que peut avoir des oiseaux pour leur maitre.

 

Pirlouis est un bruiteur, aimant jouer avec les sons, particulièrement étrange, et j'avais habitude de le siffler. Il l'avait ajouté à son répertoire, le reprenant en mon absence et troublant mes parents.

Mais cette fois-ci, se fut l'inverse qui arriva.

Mon père s'amusa à siffler comme j'avais habitude, et mes trois coco réagirent au quart de tour, grimpant dans leur cage pour me chercher du regard. Et... quand ils découvrir que mon père c'était joué d'eux, ils l'ignorèrent royalement, malgré ses tentatives suivantes.

 

Malgré mes absences, ils reconnaissent toujours autant ma voix, réagissant à plusieurs pièces de distance, et boudant mes parents quand je suis là, malgré tous leurs soins attentif des mois durant.

La fidélité des calopsittes m'impressionnera toujours autant.

gourmandise a trois

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 07:00
 

 

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