3 janvier 2010
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Certaines calopsittes sont doué pour le chant, les sifflements et les bruitages en tout genre. De manière générale, c'est plutôt les mâles qui se montrent enclin à faire entendre leur voix. Mais pour les détecter et surtout exploiter leur don, cela peut demander de la patiente et du temps.
Leur répertoire peu être très varier, et ce sont surtout des bruits ou des sons qu'ils entendent régulièrement. Si vous chercher à lui apprendre un bruit, un sifflement ou un mot simple, attendez-vous donc à le répéter très souvent et sur une longue période.
Il faut aussi leur faire réviser ce qu'ils ont appris, pour qu'ils ne l'oublient pas. Pour cela, un quart d'heure tous les jours, c'est l'idéal. Pour les faire réviser, commencer par reproduire vous-même leur répertoire (ou du moins, tout ce que vous êtes capable d'imiter). Ils se prendrons rapidement au jeu et ressortiront tout ce qu'ils ont appris. Refaites particulièrement ceux qu'ils ne font pas d'eux-mêmes. Ce moment de révision est le moment idéal pour lancer un nouveau bruit.
On peut aussi leur laisser apprendre ce qu'ils veulent et y voir un résultat parfois très surprenant.
Par exemple, voici le répertoire de Pirlouis, le principal bruiteur du groupe : grincement de porte, rugissement (j'ignore où il l'a trouvé), petits claquement de langue contre le palais, et les cris des calopsittes (cris d'appel, de douleur et d'amour).
Plus limité et encore débutant, Yakaris n'a encore qu'un bruit à son actif, une sorte de "gnack !" qu'il utilise quand il est contrarié ou pour commenter une situation.
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Lui apprendre des tours
31 décembre 2009
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Photos-évenements
25 décembre 2009
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Photos-évenements
6 décembre 2009
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Même si un oiseau c’est fait pour voler, il a besoin de s’exercer avant d’y arriver. Les débuts sont parfois difficiles…
Il va commencer par essayer ses aile en les battant vigoureusement tout en s’accrochant fermement des pattes et du bec à la cage. Et puis un beau jour, il va tout lâcher et décollera. Au début, il n’ira pas très loin, et arrivera très rapidement au sol. Bien sur, après avoir vu le décollage, il va devoir maîtriser l’atterrissage, partie la plus délicate du vol. A son stade, il préféra pour commencer les surfaces plates (sol, table, …), mais mettra beaucoup de temps pour le réussir correctement.
En parallèle, il s’entraînera à l’endurance et la vitesse : il restera plus longtemps en l’air et ira plus loin… mais n’ayant pas encore appris à tourner… (Aïe ! le mur !). Les virages sont donc abordé à l’étape suivante, je me souviens encore de Yakaris qui volait en zigzague, n’ayant pas encore appris à doser ses tournant (il virait d’un quart de tour à chaque fois…).
Cela fait, il reste encore à peaufiner l’atterrissage et donc le freinage. Là, chacun sa technique : Piou Piou vise les canevas car c’est facile de s’y accrocher, Pirlouis arrête de battre des ailes pour se laisser tomber sur une plante qui amorti sa chute, et Yakaris préfère les dérapages sur le carrelage.
Mais quand il maîtrise le vol sur le bout des ales, c’est vraiment magnifique. Il s’envole avec grâce, fait de large tour à ras du plafond, et ralenti pour se poser délicatement sur sa cage. Mais il y a aussi des jours, où il veut faire le mariole, vole à toute allure, évite de justesse un autre oiseau qui vole à contresens, et invente des figures aériennes pour finir sur le dessus d’une armoire…
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L'apprivoiser
29 novembre 2009
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Je vous avais déjà parlé de comment reconnaître un couple de calopsittes: ils passent du temps ensemble, mange et dorme en même temps et se font des bisous et câlins. Et bien, j'ai une autre activité qu'ils font ensemble: regarder la télé!
Confortablement installés tous les deux sur une mangeoire très bien placé pour avoir une bonne vue sur la boite à image, notre petit couple profite du programme de la soirée, une graine à porté de bec et l'être aimé tout proche. Que demander de plus?
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Photos-évenements
22 novembre 2009
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Si vous souhaitez acquérir une callopsitte, vous devez sûrement vous demander où. Il y a plusieurs possibilités.
La plus simple et la plus pratique est l’animalerie. Mais… c’est à double tranchant… Et d’un, ce n’est pas donné, et de deux, il y a peu de chance qu’elle ait été sociabilisé à l’homme, ça sera donc un pu plus long de l’apprivoiser.
La plus onéreuse est l’éleveur professionnel. Certes, sont prix sera élever, mais il pourra vous proposer une callopsitte élevé à la main, donc très peu farouche à l’homme.
La moins connu est le particulier amateur. S’il a un couple qui a niché, il cherchera à trouver pour les petits un bon foyer. Les prix peuvent varier, mais pour celui que j’ai connu, c’était plus que raisonnable par rapport à une animalerie. De plus, si l’oisillon est jeune et ne mange pas encore de façon totalement autonome, vous pourrez le nourri vous-même (à condition de savoir si prendre) et ainsi faciliter son apprivoisement.
Après, tout dépend pour votre choix de ce que vous attendez de votre oiseau.
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Sa venue à la maison
15 novembre 2009
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07:00
Comme je vous l'ai dit la semaine dernière, les calopsittes sont fidèles, et j'en ai la preuve, mais... pas en image, vous m'en voyez navré.
Choupette a rejoint depuis un moment la cage de Piou Piou et Pirlouis et elle n'est pas resté insensible au charme naturel de ce dernier. Elle a bien essayer de lui montrer au combien elle est belle, lui attrapant les plumes pour qu'il la regarde (mes parents qui les gardent peuvent témoigner), mais il n'a d'yeux que pour sa chère Piou Piou et dédaigne ses avances insistantes.
Pourrait-on en tirer une série à feuilleton comme les feux de l'amour? Je ne sais, mais il est certain que Choupette ne tient rancœur à Piou Piou ni la considère comme rivale, car toutes deux grignotent leurs brindilles joyeusement et cote à cote.
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L'apprivoiser
8 novembre 2009
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07:00
Si vous souhaitez faire cohabiter plusieurs calopsittes dans une même cage, il n’y aura aucune raison que ça se passe mal, même si ce n’est pas un couple.
S’il s’agit de deux calopsittes, mais que ce n’est pas un mâle avec une femelle, ils s’entendront quand même très bien, et se débrouilleront entre eux.
S’il y a moins de femelles que de mâles, il n’y a aussi aucune raison que ça ne se passe mal. Des couples se formeront et tiendront. Personnellement, j’ai une femelle et 3 mâles, et je n’ai pas vu de divorce et de remariage, ils sont assez fidèle.
Après, il faut aussi que les oiseaux s’entendent et ça dépendra de leur caractère.
Anecdote :
Quand Piou Piou avait pondu un œuf au fond de la cage, Pirlouis (le papa) n’avait pas trop apprécié que Kirouette veuille jouer les papas adoptifs, et il l’a carrément jeté hors de la cage. Mais quand les chiens sont venus voir ce qui se passait, les trois mâles sont descendus leur « cracher » dessus pour protéger l’œuf.
Ci-dessous, 3 calopsittes qui se partage la dégustation d’une tige de plantain.
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Sociabilité
1 novembre 2009
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07:00
Vous avez la cage, vous aurez bientôt l’oiseau, mais encore faut-il savoir où l’installer.
Le choix de la pièce :
La callopsitte est un oiseau sociable, elle sera donc contente de passer du temps avec vous et votre famille. Il faut donc qu’elle puisse voir du monde sans être continuellement dérangé.
Evitez les lieux vides la journée (coin des enfants) ou des passages très fréquenté (couloir) pour plutôt privilégier les pièces conviviales (séjour ou salle à manger). La cuisine est à proscrire, pour des raisons d’hygiène et de sécurité pour votre compagnon à plumes.
Le choix de l’emplacement :
Dans son coin, la température ne doit pas trop varier, n’être ni en plein soleil, ou dans l’obscurité et doit être à l’abri des courants d’air. Evitez donc d’installer la cage juste à coté d’un radiateur, d’une fenêtre ou d’une porte. Vous pouvez suivre les courants d’airs à la trace avec l’oscillation d’une flamme de bougie.
La cage ne doit pas être placé trop bas (les oiseaux n’aiment pas ça) ni trop haut (l’oiseau ne vous verra pas). Pour vous donner une idée, me oiseaux sur le toit de leur cage sont à hauteur d’yeux pour pouvoir ‘bavarder’.
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Habitat
25 octobre 2009
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07:00
Un pièce peut révéler être dangereuse pour votre oiseau, il faut donc les éloigner au mieux, ou si ce n'est pas possible, les limiter en donnant de bonnes habitude à votre compagnon à plumes.
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une fenêtre ouverte : l'oiseau peut fuguer. Limitez les risques en ne laissant jamais de fenêtre ouverte quand l'oiseau est de sortis, ou y mettre une moustiquaire;
- une fenêtre fermer : il peut ne pas la voir et se la prendre en se faisant mal. Avant de le laissez voler en liberté, aprennez-lui à les reconnaître;
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un bassin, un sceau d'eau ou un aquarium laissé ouvert : il peut s'y noyer. Fermer systématiquement les aquariums avant de sortir l'oiseau, et installer le bassin dans une autre pièce. Si cela n'est pas possible, restez toujours vigilant pour le repêcher (les plumes mouillées sont trop lourdes pour le permettre de voler);
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une plante : si elle est toxique et qu'il lui prend l'envie de la grignoter, il se rendra malade dans le meilleur des cas. Renseignez-vous sur les plantes toxiques et éloignez-les de son entourage. Deux précautions valent mieux qu'une en ne lui donnant pas l'occasion d'en grignoter;
- un cactus : il peut se crever un œil avec les épines. Retirez-les de son entourage;
- un fils électrique qui traîne : très curieux, il va l'examiner en le mordillant et risquera de s'électrocuter. Faites courir vos fils dans une gaine qu'il ne pourra pas attaquer;
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un placard ou un tiroir ouvert, un vase vide : il peut s'engouffrer dedans et ne plus pouvoir en sortir ou se laisser enfermer. Remplissez les vases vides de sable, d'une part ils gagneront en stabilité, d'autre part il pourra en sortir plus facilement. Ne laissez pas de placard ouvert et vérifier que vous avez bien tous vos oiseaux avant de les fermer. L'autre danger lié aux portes et fenêtres ouvertes, si l'oiseau est perché dessus, est de lui concer les pattes en la refermant, lui fesant très mal;
- la cuisine et notamment les plaques de cuissons où il peut se brûler : ce n'est pas un endroit pour un oiseau, ne le laissez pas entrer;
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les attrape-mouches : on y pense pas toujours, mais la glue est vraiment collante, suffisamment pour attraper des grosses "mouches" à plumes. Vous voyez ce que je veux dire ?
- d'autres animaux : pour un chat ou un chien, votre oiseau peut représenter un casse-croûte. Soit vous arrivez à leur faire comprendre qu'il ne faut pas y toucher, soit vous ne sortez votre oiseau que pendant leur absence, et en le gardant sous surveillance.
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dans
Habitat
